Analyse astrologique de l’origine des guerres
L’histoire de l’Humanité se résume à une succession de guerres destructives, régressives, avec des traumatismes profonds sur plusieurs générations, y compris pour l’écologie.
Les motifs pour déclencher une guerre sont variables à l’infini, mais ont un dénominateur commun en trois points, la conquête de territoires, le pouvoir et la puissance que procure la possession des biens matériels et des terres. 1)
Quant aux motifs, les plus fréquents sont d’ordre sentimental, la jalousie, la nostalgie, la frustration, ou mental, la convoitise, le complexe de supériorité, les troubles obsessionnels, les croyances, l’ignorance, les injustices.
Ce qui lie les Humains et ce qui les sépare
Fondamentalement, l’Humanité est liée par les pieds avec l’élément eau, Neptune/Jupiter eau, mais séparée par le mental, la tête, élément air, Mercure/Uranus. Toute forme de vie sur Terre est issue de l’eau. Ce qui signifie que tout le vivant sur notre planète Terre est issu d’une seule source et que la Terre est notre seule et unique « maison » dans l’Univers. N’en déplaise aux multimilliardaires utopiques, déconnectés de la réalité.
La première séparation de l’unité eau liante, est le mental représenter par Mercure. Avec Mercure une personne s’individualise. Elle n’est plus en fusion avec le grand tout et sait faire preuve de discernement, dans l’idéal. Mercure représente les idées, les échanges et l’apprentissage pour l’essentiel. Quant à Uranus, son octave supérieure, il représente l’ingéniosité, la fratrie invisible et toutes les nouvelles technologies.
Les qualités d’une planète peuvent être utilisée d’une façon évolutive, pour protéger la vie, ou d’une façon régressive, destructive. Une personne évolue ou régresse. Le statut quo n’existe pas dans la nature. Les guerres bloquent l’évolution, car l’instinct de survie est prioritaire et doit se concentrer sur les besoins immédiats, vitaux.
Les conséquences des guerres au fil des générations
Quand les idées de Mercure s’associe avec l’ingéniosité d’Uranus pour se mettre au service de la guerre, il est aisé de comprendre que leurs qualités deviennent destructives, régressives.
Les répercussions d’une guerre sur le plan mental sont comparables aux ondes de choc provoquées par un jet de pierre dans un plan d’eau. L’élément eau, la mémoire est affectée à long terme aux effets parfois pervers. Les protagonistes impliqués, victimes et agresseurs, auront des séquelles physiques ou psychologiques, voire les deux, consécutives aux guerres.
Une des séquelles est le sentiment de culpabilité dû aux actions d’horreur commises durant les conflits par les agresseurs, ou des traumatisme vécus par les victimes. Ils s’impriment dans le mental et dans les cellules d’une personne et se transmettent aux générations suivantes par la génétique.
Une personne avec de telles charges négatives suivra fort probablement le même schéma de comportement que les générations précédentes. Elle répétera les mêmes erreurs indéfiniment, jusqu’à la prise de conscience qui lui permettra de briser le cercle des répétitions. 2)
L’actuelle résurgence de l’extrême droite et des autocrates en est une des conséquences. La 2ème et 3ème génération après la dernière guerre mondiale en est particulièrement affectée. L’extrême droite utilise des dogmes idéologiques et prône l’exclusion, il faut impérativement un coupable, un bouc émissaire. Une idée simpliste pour ne pas se pencher sur les causes profondes du mal être d’une société.
Les personnes concernées sont généralement sentimentales et nostalgiques. Elles ne tiennent pas compte des leçons des évènements du passé. Les diverses formes de dictatures le confirment. 5)
La division mentale régressive, les troubles obsessionnels, les prédateurs
La culpabilité « héritée » peut provoquer chez un individu une séparation avec la réalité. Cette séparation avec la réalité l’incite à créer « des ennemis fictifs », un bouc émissaire. Généralement, ces individus sont aussi atteints de la folie de grandeur, du syndrome de sauveur et sont tributaire de leur cerveau reptilien. Ils utilisent la manipulation psychologique pour prendre un contrôle total de leur entourage proche, ensuite d’une nation, dans le pire des cas. Ils deviennent des prédateurs, des autocrates.
Ces individus se convainquent mentalement de la dangerosité de ses « ennemis imaginaires », se complaisent dans le rôle du sauveur, pour protéger les victimes « des ennemis imaginaires » créés par eux. Après prise de contrôle, ils se transforment progressivement en bourreau sanguinaire. Ils se nourrissent et se délectent de la souffrance d’autrui et le chaos qu’ils créent continuellement en répandant la haine autour d’eux. Ce sont des accumulateurs* compulsifs de biens matériels.
Toutefois, l’écroulement de leurs œuvres est inévitable, car construits sur les énergies régressives de Mars. Mars/Ares, le Dieu guerrier, est accompagné par les trois Erinyes, Mégère la Haine, Tisiphone la Vengeance, et Alecto l’Inflexible, l’Implacable.
*Les accumulateurs compulsifs sont comparables aux Trous Noirs qui aspirent toute la matière qui s’approche de trop près de leur horizon des évènements, mais donnent rien en retour. Ils ne dégagent aucune lumière et créent une distorsion extrême du tissu social. (Prof. Dr. Luciano Rezzolla, « L’irrésistible attraction de la gravitation », le voyage vers les trous noir).
Ce qui est en haut est en bas et inversement. La Terre est le miroir de l’Univers.
Les répercussions de la Haine, Vengeance et Inflexibilité
Dès lors, deux issues sont potentiellement possibles. Soit « les ennemis imaginaires » désignés sont harcelés et humiliés jusque à ce qu’ils se rebiffent et contre-attaque, offrant ainsi la possibilité au tortionnaire-sauveur de les éliminer définitivement, en toute légalité.
Soit l’agresseur est convaincu d’avoir suffisamment de preuve de la dangerosité de « ses ennemis imaginaires » et se sent suffisamment supérieur en force, il attaquera sans prévenir, avec l’objectif identique précité.
Le premier cas concerne Israël contre la Palestine, le deuxième la Russie contre l’Ukraine. 3)
Israël, la nostalgie du retour à la Terre Promise
Dès la création de la théocratie Israélienne, leurs gouvernements successifs n’ont jamais assumé leur responsabilité dans l’expulsion forcée et injuste des Palestiniens de leur terre natale. Le déni des Israéliens a pour conséquence 80 ans de guerre avec leur voisins et la création de « groupes terroristes » pour les rappeler à leur devoir de reconnaissance. 2)
Mais, qu’en est-il de la nostalgie des Juifs du retour à la Terre Promise ? Existe-t-il des documents officiels qui autorisent les Israéliens de chasser les Palestiniens de leur terre natale ? Le droit au retour à la Terre Promise serait-il un laisser passer pour commettre un génocide par une guerre impitoyable contre des civiles ?
L’état théocratique Israélien a été créé sur fond de culpabilité des certains états Européens à cause de l’Holocauste. Culpabilité contre la Terre Promise, tel était le deal à l’époque, après la deuxième guerre mondiale.
Le nouveau deal repose sur le même principe, la culpabilité d’une poignée de Palestiniens contre la Cisjordanie et la bande de Gaza. Ces territoires tant convoités depuis la création de la théocratie Israélienne. Le gouvernement et leurs conseillés ultra-orthodoxes sont tombés de leur piédestal de victime séculaire à bourreau sanguinaire. Ultra-orthodoxe est synonyme de l’extrême-droite dans les démocraties.
La Russie, la nostalgie d’un passé glorieux
L’agression de la Russie contre l’Ukraine consiste à rétablir la supposée grandeur de l’ex URSS. C’est le rêve de retour à un état paradisiaque, le retour dans le ventre de « la Grande Mère ».
L’actuel président Russe est l’archétype de la description du paragraphe « La division mentale régressive ». Le problème est que la population russe n’est jamais sortie de l’esclavage systémique. Les Russes sont toujours enfermés dans des dictatures de pensées uniformes, de serfs au temps de la monarchie, aux « camarades » idéologiques du temps du communisme, en passant par l’actuel président-autocrate. Les autocrates ont un penchant naturel pour les uniformes, les défilées militaires et les guerres. C’est dans leur nature.
Les guerres de religion, la nostalgie du retour au temps des chameaux, l’ignorance
La guerre de religion est la pire forme de guerre, car elle tue le divin et le sacré. Cette forme de guerre utilise des dogmes religieux dépourvus de spiritualité. 5)
Les dogmes religieux sont issus du mental imaginaire, créés par les hommes pour les hommes, pour justifier leurs actes barbares contre leur semblable. Ils sont des instruments de pouvoir, utilisés pour la conquête des territoires et de biens matériels synonyme de puissance.
Les princes de l’église catholique du Moyen Âge se servaient des dogmes religieux pour instaurer un climat de terreur par l’inquisition pour assouvir leur soif de pouvoir.
La guerre de religion menée par le Daech est une copie conforme de cette inquisition, mais exécutée avec une technologie moderne ultra sophistiquée. En conséquence, le chemin du retour au temps des transports sur dos de chameaux et d’ânes est pavé d’horreurs apocalyptiques, dépourvu de spiritualité.
Les grandes messes pseudo-religieux, à la sauce évangéliste américaine, sont peut-être moins violentes en apparence, mais tout aussi manipulatrices et dépourvues de spiritualité.
La spiritualité signifie le retour à la nature, le respect de la diversité sous toutes ses formes. Elle est le chemin menant à l’intérieur, à la découverte du divin dans la matière et aspire à la communion avec l’Univers entier. Elle est porteuse de la paix et de l’harmonie. La spiritualité ne dépend d’aucune religion, d’image ou d’un carré de tissu. Elle est immatérielle. 7)
Les colonisateurs, les conquérants exterminateurs, le complexe de supériorité
Toutes les grandes puissances militaires, coloniales et toutes les grandes fortunes se sont construites sur l’esclavage, l’extermination des autochtones, l’expropriation forcée et le vol organisé de la matière première, sans exception.
Les conquérants exterminateurs souffrent du complexe de supériorité, dépourvus de scrupules. Ils considèrent que les autochtones sont des êtres inférieurs, une sorte de sous-produit humain, pour justifier leurs exactions abominables. Toutefois, ils se déshumanisent à leur insu par leurs actions irresponsables et deviennent ainsi des déchets de l’humanité.
Tous les anciens et nouveaux colonisateurs pensaient, et le croient encore, de pouvoir construire une paix durable après un génocide ou des meurtres étatiques. La Russie, les États-Unis, la Chine, la Turquie, Israël, parmi tant d’autres, confirme cette règle. Ils sont des exportateurs de guerre, soit à l’intérieur du pays, soit à quelque part dans le Monde.
Leur statut de guerrier impénitent prouve qu’il est impossible de vivre en paix sur une terre souillée par le sang de tant de victimes innocentes.
Le système patriarcal, l’ignorance, la frustration, la jalousie
Les femmes fonctionnent en réseau, les Hommes en hiérarchie. Ce qui implique intrinsèquement que les hommes se sentent forts en groupe, si possible armé, avec un chef omnipotent. Les hommes se sentent reconnus dans un système de gouvernance patriarcal, un système discriminatoire. Ce système n’accorde aucune reconnaissance sociale aux femmes, hormis leur fonction procréatrice liée à leur ventre. Seule les « Mères » bénéficies d’un certain statut social et un semblant de sécurité. 4)
Ce système applique des dogmes religieux ou idéologiques d’un autre temps qui enferment les femmes dans une dépendance régressive, à la fois matérielle, physique et psychologique. Si elles aspirent à une autre forme de reconnaissance sociale, c’est au péril de leur vie ou de leur intégrité physique. 5)
L’Afghanistan est l’exemple parfait, mais ne détient pas l’exclusivité en matière. Le retour de la mode « Tradwife » aux États-Unis confirme qu’il n’y aucune différence entre les talibans et certains républicains. Les deux pays ont aussi en commun des caricatures de présidents. Mais sur ce point, ils ne détiennent non plus l’exclusivité. 6)
Ce système de gouvernance perdure en Moyen Orient, en Asie, en Afrique et en Amérique du Sud, essentiellement dans les anciennes colonies, dont font aussi partie les États-Unis. Le système patriarcal favorise la création de clans dirigeants, tout comme les dictatures.
Toutefois, les pays de réputation démocratique ne sont pas à l’abri de résurgence de ce ce système de gouvernance.
L’égalité homme-femme se situe dans leur complémentarité, l’homme n’a pas plus de valeur que la femme. Les femmes sont liées aux éléments terre/eau, les hommes aux éléments feu/air. Qui peut prétendre qu’un élément a plus de valeur que l’autre ? Pour lier ces éléments, il faut un élément intermédiaire, le bois, le savoir, Jupiter évolutif. L’ignorance abouti aux guerres des genres.
Les injustices sociales, le complexe de supériorité
Pour une grande majorité de la population mondiale ces conditions de dignité humaine sont impossibles à réaliser. Car, une petite minorité accapare la quasi-totalité des ressources de la terre et des biens matériels. Cette minorité a remplacé partiellement les rois et les aristocrates du passé qui ont perdu de facto leur statut « divin ». La « Nouvelle Aristocratie » est composée majoritairement par les institutions financières, multinationales, géants du net, industries diverses, organisations criminelles et autres dictatures ou politiciens véreux.
Leurs dirigeants s’octroient des salaires indécents à 6 ou 7 chiffres, voire plus. Ils aspirent toute la substance de la base qui en ressort asphyxiée, exsangue, réduite en esclavage des temps modernes. Les nouveaux aristocrates vivent dans une bulle rose bonbon de privilège volé, à l’image des aristocrates du passé. Ils sont sourds et aveugles. Les injustices sociales qui en découlent sont abyssales.
Ces injustices sont à l’origine des révoltes de la population. Or, le soulèvement de la population fonctionne comme un tsunami gigantesque qui déferle en dévastant tout sur son passage. Lune en conjonction avec Neptune.
Les minorités nanties perdront leur tête ou leur vie lors de ce passage, en analogie avec la Révolution française et russe. L’histoire le confirme.
Le dialogue interplanétaire pour la promotion de la paix sociale
Nous bénéficions actuellement d’une configuration exceptionnelle des planètes générationnelles pour désamorcer les révoltes et éviter les guerres futures.
Elle est composée d’un trigone entre Pluton à 01° en Verseau et Uranus à 01° en Gémeaux, relié avec deux sextils avec Neptune en pointe à 1° en Bélier, en conjonction avec Saturne, le 31 août 2025. Les structures obsolètes sont dissoutes et une nouvelle façon de voir la réalité est en train d’émerger.
3 planètes sont rétrogrades, Saturne, Pluton, Neptune. Elles nous invitent au dialogue, à la raison et à la réflexion des priorités pour nous empêcher de commettre l’irréparable.
Conclusion
Ce bref exposé schématisé sur les origines des guerres nous démontre que la nature est parfaite et les humains imparfaits, car le mental peut nous jouer des tours. L’eau, l’air et les terres sont pollués et les forêts brûlent, mais les intérêts économiques d’une minorité vorace prévalent, encore et toujours.
Pour préserver la paix et notre « Maison Terre », synonyme du principe lunaire, il faut faire preuve de bonne volonté, principe solaire. Il faut aussi le liant, principe vénusien, le bon sens, principe saturnien et la sagesse de Chiron qui est l’intermédiaire entre l’Univers et la réalité terrestre. Le principe de Mars et de Jupiter, le passage au feu maîtrisé, permet de réaliser ce plat de résistance qui réchauffe le cœur et l’âme.
Actuellement, plusieurs ingrédients manquent à sa réalisation, dont notamment la bonne volonté, le bon sens, le discernement et pour l’essentiel l’amour/sagesse.
Explications complémentaires
1)La puissance sans pouvoir tourne sur elle-même et crée des frustrations. Le pouvoir sans puissance crée le chaos générant des guerres. Le pouvoir sert de canal à la puissance.
2) La culpabilité est l’opposé de la responsabilité, les deux sont liés à Saturne, la réalité. Le refus d’assumer une responsabilité, se transforme en culpabilité dans la mémoire collective, (Lune/Saturne, axe IV/X). La culpabilité se transmet aux générations suivantes, dans la mémoire collective, tel une tâche noire indélébile.
3) L’ennemie vient toujours de l’intérieur, jamais de l’extérieur, c’est l’effet miroir. Ce qui est à l’intérieur est à l’extérieur, et inversement.
4) Les femmes sont connectées à la terre par la planète Vénus/Taureau. Elles sont intimement liées aux trois Parques, Clotho la fileuse initiatrice de la destinées humaines, Lachésis qui détermine la longueur du fil de la vie, Atropos l’inévitable qui coupe impitoyablement le fil de la vie de chaque mortel. Elles détiennent le pouvoir et la puissance, ce qui évidemment fait peur aux hommes.
5) Les dogmes, religieux ou idéologiques sont des instruments de pouvoir et de répression. Ils sont liberticides, figés dans un passé révolu, et fonctionnent comme des rouleaux compresseurs empêchant toute évolution. Ils créent un climat de suspicion, de délation et de mensonge étatique. Les dogmes empêchent la circulation d’idées évolutives moyennant le droit au doute, la liberté d’opinion et d’expression.
6) C’est la preuve irréfutable qu’un homme reste un homme, quel que soit sa couleur, sa race et ses origines. Seul leur degré d’évolution les différencie. L’évolution de certains hommes s’est arrêtée au temps des hommes du Néandertal.
7) Initialement, les religions, liées au signe des Poissons, étaient destinées à montrer le chemin vers l’intérieur pour découvrir le divin dans la matière. Elles parlent généralement d’amour universel inclusif, englobant la création dans toute sa diversité. Paradoxalement, toutes les religions ont toujours été exploitées à des fins d’enrichissement personnels, en agitant le drapeau de la peur existentielle par des hommes cupides.